Through art we transcend space and place.
We tell stories.
We connect.
We dream.
This exhibit is a bridge between my hometown of Washington, D.C., and Abidjan, Côte d’Ivoire, where I have the greatest honor to represent the American people.
Read More
A travers l’art, nous transcendons les frontières de l’espace et du temps
Nous racontons des histoires,
Nous créons des liens,
Nous rêvons ensemble.
Cette exposition est un pont entre ma ville natale, Washington D.C., et Abidjan, Côte d’Ivoire, où j’ai l’immense privilège de représenter le peuple américain.
Read More
Interdisciplinary artist Anike Robinson incorporates history with contemporary art to spark dialogue about contested perceptions of Black people around the world. Robinson is a self-described “image hunter who documents provocative African Diaspora journeys across time and geography.” Her artistic process raises important questions that help “build community discourse in conversation with artists, activists, and arts and cultural organizations.”
Robinson attended Spelman College, Atlanta; Johns Hopkins University, Baltimore; and the Maryland Institute College of Art, Baltimore. An educator and writer with a background in curriculum development for kindergarten through twelfth grades, she has taught in the Montgomery County public school system in Maryland since 2015. Read More
L’artiste interdisciplinaire Anike Robinson associe l’histoire à l’art contemporain pour susciter le dialogue sur les perceptions contestées des Noirs dans le monde. Robinson se décrit elle-même comme une « chasseuse d’images qui documente des voyages provocateurs de la diaspora africaine à travers le temps et la géographie ». Son processus artistique soulève des questions importantes qui aident à « construire un discours communautaire en conversation avec des artistes, des activistes et des organisations artistiques et culturelles.Read More
Through collage, found objects, and paint, mixed media artist Ellington Robinson investigates how culture and economics create “political containers that we call states and countries,” as well as the histories of global imperialism, racism, and classism. What the Bantu Did Not See references the migration of the Bantu people throughout Africa that occurred in the mid-second millennium B.C.E. and ended before 1,500 C.E. “The work projects forms that deal with ancient civilizations, economics, physics, and history,” Robinson says. “How do we arrive at our longitude, latitude, and altitude? The portrait appropriates a Dan mask, being a portal into the spiritual world, tapping into our ancestral heritage, an Atlantic Ocean horizon as a symbolic gesture to being forced into ‘The New World,’ and a phenotype that signifies our physical presence to the world.”…Read More
À l’aide de collages, d’objets trouvés et de peinture, l’artiste mixed media Ellington Robinson étudie la manière dont la culture et l’économie créent « les conteneurs politiques que nous appelons États et pays », ainsi que l’histoire de l’impérialisme mondial, du racisme et du classisme. What the Bantu Did Not See fait référence à la migration du peuple bantou à travers l’Afrique, qui s’est produite au milieu du deuxième millénaire avant notre ère et s’est terminée avant 1 500 ans avant notre ère. « Comment en arrivons-nous à notre longitude, notre latitude et notre altitude ? Le portrait s’approprie un masque Dan, qui est un portail vers le monde spirituel, puisant dans notre héritage ancestral, un horizon de l’océan Atlantique comme geste symbolique de l’entrée forcée dans le ‘Nouveau Monde’, et un phénotype qui symbolise notre présence physique dans le monde…Read More
In his artistic practice—which he largely refers to as “Archaeological Pop”—Ghislain Brown-Kossi incorporates abstract forms and vibrant colors with universal symbols to analyze the connections between different cultures and urge viewers to experience ways of life outside of their own. Artifact 015 is part of his Artifact series, which explores the concept of temporality. While the textured surfaces of plaster and sand symbolize the past, the bright acrylic colors represent the future. The work explores Brown-Kossi’s search for “spatio-temporal spaces,” recalling the memory of what is lost and looking toward what is to be discovered….Read More
Dans sa pratique artistique, qu’il qualifie en grande partie de « Pop archéologique », Ghislain Brown-Kossi incorpore des formes abstraites et des couleurs vives à des symboles universels pour analyser les liens entre différentes cultures et inciter les spectateurs à découvrir des modes de vie différents des leurs. Artifact 015 fait partie de sa série Artifact, qui explore le concept de temporalité. Alors que les surfaces texturées de plâtre et de sable symbolisent le passé, les couleurs vives de l’acrylique représentent l’avenir. L’œuvre explore la recherche de Brown-Kossi pour les « espaces spatio-temporels », rappelant la mémoire de ce qui est perdu et regardant vers ce qui est à découvrir…Read More
Mixed-media artist Asha Elana Casey’s practice is influenced by diasporic histories, literature, African and African American folklore, and personal narratives. Her oeuvre centers around what she refers to as “Godliness and Self Preservation,” which are significant to African American spiritual culture, and her goal is to eternalize her subjects and their histories while placing them in positions of power. Read More
La pratique de l’artiste mixed-media Asha Elana Casey est influencée par les histoires, la littérature de la diaspora ainsi que le folklore africain et afro-américain et les récits personnels. Son œuvre est centrée sur ce qu’elle appelle « la piété et la préservation de soi », qui sont importantes pour la culture spirituelle afro-américaine, et son objectif est d’éterniser ses sujets et leur histoire tout en les plaçant dans des positions de pouvoir. Asha and Ori, de la série The One Who Rules My Head, représente une Casey aux cheveux blancs et son Ori, un esprit divin qui guide la tête comme une conscience. Muse fait partie de la série The God Self, dans laquelle Casey représente sa famille et ses amis sous leur aspect le plus élevé, en donnant une signification spirituelle aux paillettes, au verre, aux strass et aux plantes…Read More
– Zsudayka Nzinga –
Zsudayka Nzinga is a self-taught multi-disciplinary artist, curator, and educator. Framing her work as “cultural anthropology,” Nzinga aims to capture everyday moments through the perspective of Black identity. She utilizes acrylic, fabric, decorative and hand dyed paper, ink, oil bars, relief print, and vinyl in her work and incorporates historical themes by blending Victorian and American fashion with African design. “My work aims to challenge the notion that Black culture and identity is separate from American culture; rather, American culture is very steeped in Blackness, from its evolving use of language, fashion, interior design, music and adopting of cultural norms. Read More
Zsudayka Nzinga est une artiste autodidacte multidisciplinaire, conservatrice et éducatrice. Elle définit son travail comme une « anthropologie culturelle » et cherche à capturer les moments de la vie quotidienne à travers la perspective de l’identité noire. Elle utilise l’acrylique, le tissu, le papier décoratif et teint à la main, l’encre, la barre à l’huile, l’impression en relief et le vinyle dans son travail et incorpore des thèmes historiques en mélangeant la mode victorienne et américaine avec le design africain. « Mon travail vise à remettre en question la notion selon laquelle la culture et l’identité noires sont séparées de la culture américaine ; au contraire, la culture américaine est très imprégnée de noirceur, étant donné son utilisation évolutive de la langue, de la mode, de la décoration intérieure, de la musique et de l’adoption de normes culturelles. En tant qu’Américaine qui n’est pas toujours perçue et engagée comme Américaine en raison des complexités de la diaspora, j’invite les spectateurs à interagir avec mes œuvres et à trouver les similitudes entre nous tout en célébrant les différences, dit-elle…Read More
James Terrell’s soulful paintings reflect shared life experiences and seek to attract diverse viewers. In Terrell’s words, his works “regenerate, provoke, and inspire the conscious and unconscious thoughts that surround the soul. The gently placed and layered lines in the art are reminiscent of electric wires carrying the current of spiritual mobility and vitality. My art seeks to take the viewer on a visual ride through the silent places between thought, thereby allowing revelation and transformation of the human consciousness to occur…Read More
Les peintures pleines d’âme de James Terrell reflètent des expériences de vie partagées et cherchent à attirer des spectateurs divers. Selon James Terrell, ses œuvres « régénèrent, provoquent et inspirent les pensées conscientes et inconscientes qui entourent l’âme ». Les lignes délicatement placées et superposées dans l’art rappellent les fils électriques qui transportent le courant de la mobilité et de la vitalité spirituelles. Mon art cherche à emmener le spectateur dans un voyage visuel à travers les lieux silencieux entre les pensées, permettant ainsi la révélation et la transformation de la conscience humaine…Read More
Also known by her given name Cita Sadeli, MISS CHELOVE is an independent art director, designer, and multimedia artist. Her oeuvre is rooted in her multicultural background and life experiences—from the “tropical mysticism” of Java, Indonesia, to the “punk, go-go, and graffiti-fueled streets” of Washington, D.C. Each composition honors local communities and weaves iconic images of the past and present. Themes include powerful women of color, nature, Indigenous cultures and street subcultures, and environmental and societal issues. Amazon Love Letter celebrates the Earth’s vibrant tropical societies, while featuring “the energetic movement and immediacy of street graffiti.”…Read More
Également connue sous le nom de Cita Sadeli, MISS CHELOVE est une directrice artistique, conceptrice et artiste multimédia indépendante. Son œuvre est ancrée dans ses origines multiculturelles et ses expériences de vie, du « mysticisme tropical » de Java, en Indonésie, aux « rues punk, go-go et graffiti » de Washington, D.C. Chaque composition rend hommage aux communautés locales et tisse des images emblématiques du passé et du présent. Les thèmes abordés sont les femmes de couleur puissantes, la nature, les cultures indigènes et les sous-cultures de la rue, ainsi que les questions environnementales et sociétales. Amazon Love Letter célèbre les sociétés tropicales vibrantes de la Terre, tout en présentant « le mouvement énergique et l’immédiateté du graffiti de rue »…Read More
Literature, philosophy, and language play a major role in Sess Essoh’s artistic practice. Growing up, Essoh was inspired by his father’s daily journaling routine and grew fascinated by the celebrations and traditional rites of his community in Cote d’Ivoire. Later impacted by the urban world in Abidjan, he used poetry and writing to assess the broader sociopolitical environment, one that he sees as losing its bearings or values. Essoh gravitated toward collages and graphemes, placing golden leaves or colored crepons on canvas or ephemera such as cardboard and archival pages. Cardinals’ Poetry #3 is part of Essoh’s Origin of a Cardinal series, which “take[s] on iconic figures who have marked the history of the Continent, in dialogue with shadowy figures awaiting their rehabilitation.”…Read More
La littérature, la philosophie et le langage jouent un rôle majeur dans la pratique artistique de Sess Essoh. En grandissant, Essoh a été inspiré par le journal que son père tenait quotidiennement et a été fasciné par les célébrations et les rites traditionnels de sa communauté en Côte d’Ivoire. Plus tard, touché par le monde urbain d’Abidjan, il utilise la poésie et l’écriture pour évaluer l’environnement sociopolitique au sens large, qu’il considère comme en perte de repères ou de valeurs. Essoh s’est orienté vers les collages et les graphèmes, plaçant des feuilles dorées ou des crépons colorés sur des toiles ou des supports éphémères tels que des cartons et des pages d’archives. Cardinals’ Poetry #3 fait partie de la série Origin of a Cardinal d’Essoh, qui « s’intéresse à des figures emblématiques qui ont marqué l’histoire du continent, en dialoguant avec des figures de l’ombre qui attendent leur réhabilitation »…Read More
Gwendolyn D. Aqui-Brooks creates mixed media paintings, contemporary quilts, collages, and altered books influenced by her travels, reflections, and interpretations of current events. Grandma’s Hands takes inspiration from the song of the same title by R&B soul singer-songwriter Bill Withers. Spirit Woman depicts a woman who is known for her spiritual gifts and communes with visitors from nearby villages. The Ceremony features a snake, an important symbol used in various ceremonies painted by the artist.
Aqui-Brooks received her Bachelor of Fine Arts degree in art education from Howard University, Washington, D.C., and her Master of Arts degree in education from Trinity College, Hartford, Connecticut. She taught art both in the United States and in Africa. Her works have been exhibited at the James Museum of Western and Wildlife Art, St. Petersburg, Florida, and the African American Museum, Philadelphia.
Gwendolyn D. Aqui-Brooks crée des peintures en mix media, des couettes contemporaines, des collages et des altered books inspirés de ses voyages, ses réflexions et ses interprétations de l’actualité. Grandma’s Hands s’inspire de la chanson du même titre de l’auteur-compositeur-interprète de soul et R&B Bill Withers. Spirit Woman dépeint une femme connue pour ses dons spirituels et qui communie avec les visiteurs des villages voisins. The Ceremony met en scène un serpent, symbole important utilisé dans diverses cérémonies peintes par l’artiste.
Aqui-Brooks a obtenu une licence de beaux-arts en éducation artistique à Howard University à Washington, D.C., et une maîtrise en éducation au Trinity College de Hartford, Connecticut. Elle a enseigné l’art aux États-Unis et en Afrique. Ses œuvres ont été exposées au James Museum of Western and Wildlife Art, à St. Petersburg, en Floride, et à l’African American Museum, à Philadelphie.
Chanel Compton believes that art is a vehicle that connects people to one another. Her abstract paintings, mosaics, and portraits convey Black diasporic experiences, history, and identity and explore “the physical and spiritual conflicts of external and internal liberation.” Josephine is rendered from French photographer G.L. Manuel Frères’ image of French actress, dancer, and singer Josephine Baker. In this work, Compton reveals Baker’s beauty, strength, and vulnerability.
Compton was born in Bridgeport, Connecticut, and earned a Bachelor of Fine Arts degree from the Mason Gross School of the Arts at Rutgers University, New Brunswick, New Jersey. Her work has been exhibited worldwide at institutions such as the Museu Afro Brasil, São Paulo. She lives and works in Baltimore.
Chanel Compton est convaincue que l’art est un véhicule qui relie les gens entre eux. Ses peintures abstraites, ses mosaïques et ses portraits traduisent les expériences, l’histoire et l’identité de la diaspora noire et explorent « les conflits physiques et spirituels de la libération externe et interne ». Josephine a été réalisée à partir de l’image de l’actrice, danseuse et chanteuse française Joséphine Baker, prise par le photographe français G.L. Manuel Frères. Dans cette œuvre, Compton révèle la beauté, la force et la vulnérabilité de Baker.
Compton est née à Bridgeport, dans le Connecticut, et a obtenu une licence en beaux-arts à Mason Gross School of the Arts de Rutgers University, à New Brunswick, dans le New Jersey. Son travail a été exposé dans le monde entier dans des institutions telles que le Museu Afro Brasil, à São Paulo. Elle vit et travaille à Baltimore.
– Michael Booker –
Mixed-media artist Michael Booker creates works encompassing African American history and culture. The subjects and forms of his paintings reference hip hop music, African wax fabrics, and Gee’s Bend quilts; the latter was named after a remote community of enslaved Alabama women who sewed abstract patterned quilts from clothing and fabric scraps, passing their techniques down to future generations. Drawn with fineliner pens, Stay Lost Until OMNI presents a “literal and metaphorical construction of a parallel utopic, afro-futuristic community” that is self-sufficient and self-sustaining. “Weaving natural objects into their clothes, hair, masks, and culture, the figures seek to build this utopic world within them and around them, becoming more spiritually connected to their environment…Read More
L’artiste mixed-média Michael Booker crée des œuvres qui englobent l’histoire et la culture afro-américaines. Les sujets et les formes de ses peintures font référence à la musique hip-hop, aux tissus wax africains et aux couettes de Gee’s Bend ; tirant leur nom d’une communauté isolée de femmes asservies de l’Alabama qui cousaient des couettes aux motifs abstraits à partir de vêtements et de morceaux de tissus, transmettant ainsi leurs techniques aux générations futures. Dessiné au stylo-feutre, Stay Lost Until OMNI présente une « construction littérale et métaphorique d’une communauté parallèle utopique et afro-futuriste » qui est autosuffisante et autonome. « Read More
Curator, freelance photographer, and educational entrepreneur Aïda Muluneh takes inspiration from the “randomness” of her daily life in Addis Ababa, Ethiopia. When she moved there in 2007, Muluneh sought to capture as many moments as possible, specifically her encounters with the city’s people, streets, and lights. Based on her experiences as a photojournalist, Muluneh’s art helps her to express her emotions and thoughts. Addis Neger is part of her series Mirror of Soul. Directly inspired by the prose of well-known African American poet Nikki Giovanni, this photograph teaches viewers how to embrace and cope with moments of uncertainty and unpredictability…Read More
La conservatrice, photographe indépendante et entrepreneure dans le domaine de l’éducation Aïda Muluneh puise son inspiration dans le « hasard » de sa vie quotidienne à Addis-Abeba, en Éthiopie. Lorsqu’elle s’y est installée en 2007, Muluneh a cherché à capturer le plus de moments possibles, en particulier ses rencontres avec les habitants, les rues et les lumières de la ville. Basé sur son expérience de photojournaliste, l’art de Muluneh l’aide à exprimer ses émotions et ses pensées. Addis Neger fait partie de sa série Mirror of Soul. Directement inspirée de la prose de la célèbre poétesse afro-américaine Nikki Giovanni, cette photographie enseigne aux spectateurs comment embrasser et gérer les moments d’incertitude et d’imprévisibilité…Read More
Actor, model, and visual artist Joël Williams uses an authentic, “afro-modern touch” to enhance his fashion photographs. Based on an offbeat artistic direction, his photographic approach contains “angles, perspectives, and settings designed to faithfully reproduce the original idea.” Unexpected, contrasting colors make his photographs unique and carry an identity of their own…
Raised in an artistic family, Williams was first drawn to images in magazines and pursued photography years later with the help of his father’s camera. He earned a Master of Business Administration degree in luxury management from the School of Luxury Marketing and Management, during which he worked as an assistant manager at haute couture fashion houses in Paris. Williams is the founder of MILC3 communication agency and the artistic director of Milc Magazine.
Acteur, mannequin et artiste visuel, Joël Williams utilise une authentique « touche afro-moderne » pour mettre en valeur ses photographies de mode. Basée sur une direction artistique excentrique, sa démarche photographique se compose « d’angles, de perspectives et de mises en scène visant à reproduire fidèlement l’idée originale ». Des couleurs inattendues et contrastées rendent ses photographies uniques et porteuses d’une identité propre.
Élevé dans une famille d’artistes, Williams a d’abord été attiré par les images des magazines et s’est mis à la photographie des années plus tard avec l’aide de l’appareil photo de son père. Il a obtenu un MBA en gestion du luxe à School of Luxury Marketing and Management, alors qu’il travailliat comme assistant de direction dans des maisons de haute couture à Paris. Williams est le fondateur de l’agence de communication MILC3 et le directeur artistique de Milc Magazine.
Photographer, art director, and fashion designer Kader Diaby’s photographs are visual stories that reach beyond stereotypes to express “the subtleties of our lives” and what unites people. His work calls into question “the concordance between our intimate and collective identities” and seeks to redefine “the plural ways of being African today, in order to move from a subjugated identity to a chosen identity.”
Abidjan-born Diaby studied photography and editorial design with KLAYM—a nonprofit organization that provides economic opportunities for African artistsRead More
Les photographies de Kader Diaby, photographe, directeur artistique et créateur de mode, sont des histoires visuelles qui dépassent les stéréotypes pour exprimer « les subtilités de nos vies » et ce qui unit les gens. Son travail remet en question « la concordance entre nos identités intimes et collectives » et cherche à redéfinir « les multiples façons d’être africain aujourd’hui, afin de passer d’une identité subie à une identité choisie »…Read More
Zahui Yvann began his art career at fifteen years old, studying filmmaking and multimedia computer graphics in Abidjan. Inspired by Afrofuturism—an art movement that addresses Black themes in the context of twentieth century technoculture and science fiction—Yvann’s artistic technique expresses his African identity and focuses on the harsh realities faced by the current generation. End of the World—The Innocent relays Yvann’s perspective: “The Children in wars didn’t ask to be victims. It just showed up to them, stopping them from school and leaving them with lifetime marks. We all have to stand firm and be resilient to whatever is coming to us.”
Zahui Yvann a commencé sa carrière artistique à l’âge de quinze ans, en étudiant la réalisation de films et l’infographie multimédia à Abidjan. Inspiré par l’afrofuturisme, un mouvement artistique qui aborde des thèmes noirs dans le contexte de la technoculture et de la science-fiction du XXe siècle, la technique artistique de Zahui Yvann exprime son identité africaine et se concentre sur les dures réalités auxquelles est confrontée la génération actuelle. End of the World – The Innocent Target transmet le point de vue d’Yvann : « Les enfants dans les guerres n’ont pas demandé à être des victimes. La guerre s’est simplement présentée à eux, les empêchant d’aller à l’école et les marquant à vie. Nous devons tous rester fermes et résistants face à ce qui nous arrive. »
Photographer Aurelie Tiffy highlights societal attitudes through her black and white images. Un autre regard sur l’Abissa – L’inconnu was taken during the annual Abissa festival. Held for over three centuries as a way to honor and respect ancestral values, the festival marks the beginning of the new year for the N’Zima people of the Akan group of Côte d’Ivoire.
Although she received a degree in accounting management, Tiffy developed a passion for artistic photography and audiovisual production. She obtained the diploma of superior technician in visual communication at the School of Multimedia Specialties of Abidjan, and took a masterclass with photographer Aïda Muluneh at the Donwahi Foundation for Contemporary Art, Abidjan. Tiffy showcased her work at African Photography Encounters, a biennial exhibition in Bamako, Mali.
La photographe Aurélie Tiffy met en lumière les attitudes sociétales à travers ses images en noir et blanc. Un autre regard sur l’Abissa – L’inconnu a été pris pendant le festival annuel de l’Abissa. Organisé depuis plus de trois siècles pour honorer et respecter les valeurs ancestrales, ce festival marque le début de la nouvelle année pour le peuple N’Zima du groupe Akan de Côte d’Ivoire.
Bien qu’elle ait obtenu un diplôme en gestion comptable, Tiffy s’est passionnée pour la photographie artistique et la production audiovisuelle. Elle a obtenu le diplôme de technicien supérieur en communication visuelle à l’École des spécialités multimédias d’Abidjan, et a suivi une masterclass avec la photographe Aïda Muluneh à la Fondation Donwahi pour l’art contemporain, à Abidjan. Tiffy a présenté son travail aux Rencontres de la photographie africaine, une exposition biennale à Bamako, au Mali.
Olivier Khouadiani is an Ivorian documentary photographer based in Abidjan. Abissa is part of Khouadiani’s photographic series about the concept of dance. It depicts the traditional ceremony commemorating the new year for the Nzima community in Côte d’Ivoire. This festival of thanksgiving honors their ancestors—in other words, a celebration of “sharing and transmission between the old and new generations”—and features a rhythmic dance alongside sounds of the tam-tam percussion instrument…Read More
Olivier Khouadiani est un photographe documentaire ivoirien basé à Abidjan. Abissa fait partie d’une série photographique de Khouadiani sur le concept de la danse. Elle dépeint la cérémonie traditionnelle de commémoration de la nouvelle année pour la communauté Nzima en Côte d’Ivoire. Cette fête d’action de grâce honore les ancêtres – en d’autres termes, une célébration du « partage et de la transmission entre l’ancienne et la nouvelle génération » – et met en scène une danse rythmique accompagnée de sons de l’instrument de percussion qu’est le tam-tam…Read More
– Jean Servais Somian –
Jean Servais Somian is a sculptor, cabinetmaker, and designer whose sculptural pieces possess a functional and utilitarian purpose. Somian transforms wood into striking contemporary designs with clean lines, colorful shapes, and elements of ancestralism, while also “turn[ing] Western stereotypes of [the] Ivory Coast into visual celebrations.” He uses coconut, ebony, or amazaque wood and includes ordinary objects from African life like sponges, basins, or old fishermen’s canoes. “I take trunks as they are. I leave them in their writing, without straightening them. What is in nature is not straight,” Somian says.
Abidjan-based Somian studied at the Georges GHANDOUR carpentry and cabinetmaking center in Abidjan, as well as at the Grand-Bassam craft center within the Daniel Beck design agency in Lausanne, Switzerland. He previously showcased his work at Paris Design Week and Africa by Design, Dubai.
Jean Servais Somian est un sculpteur, ébéniste et designer dont les pièces sculpturales ont un but fonctionnel et utilitaire. Somian transforme le bois en créations contemporaines remarquables aux lignes épurées, aux formes colorées avec des éléments ancestraux, tout en « transformant les stéréotypes occidentaux de la Côte d’Ivoire en célébrations visuelles ». Il utilise du bois de cocotier, d’ébène ou d’amazakoue et inclut des objets ordinaires de la vie africaine tels que des éponges, des bassines ou de vieilles pirogues de pêcheurs. « Je prends les troncs tels qu’ils sont. Je les laisse dans leur écriture, sans les redresser. Ce qui est dans la nature n’est pas droit », dit Somian.
Le Somalien basé à Abidjan a étudié au centre de menuiserie et d’ébénisterie Georges GHANDOUR à Abidjan, ainsi qu’au centre d’artisanat de Grand-Bassam au sein de l’agence de design Daniel Beck à Lausanne, en Suisse. Il a déjà présenté son travail à la Semaine du design de Paris et à Africa by Design, à Dubaï.